Le Niger est un pays d’environ 14 millions d’habitants décomposés en 4 éthnies principales : les Haoussa (84,5%), les touaregs (4,8%), les Kanouri (3,5%) et les Peulh (1,9%) qui cohabitent très pacifiquement.
La majorité de la population est musulmane et anémiste mais toutes les religions, toutes les éthnies et toutes les cultures vivent dans un respect et un savoir vivre absoluement remarquable.
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Pourtant, c'est dans des conditions de vie difficiles, dans une grande précarité et une extrême pauvreté que la plupart des familles vivent.
Les structures sanitaires et sociales sont quasi inexistantes, le minimum vital n'est pas assuré.
L’accroissement de la population est spectaculaire avec un doublement tous les 25 ans.
Les jeunes représentent plus de 70% de la population et les 0-15 ans plus de 50 %.
La polygamie est pratiquée (chez les hommes à 18% et les femmes 31%) même si on la voit régresser au fil des années.
Le taux de fécondité est de 7,2, la mortalité infantile à 183‰ et la mortalité maternelle de 7‰.
Tous ces éléments font que le Niger est classé depuis quelques années, parmi les 5 pays les plus pauvres de la planète.
Les indices du Développement Humain des Nations Unies sont effectivement dramatiques : l’espérance de vie est de 48 ans, le taux d’analphabétisme est de 80%, l’accès à l’eau potable concerne moins de 50 % de la population.
Les maladies nutritionnelles y sont fréquentes et récurrentes, les infections (méningites, malaria ou paludisme, diphtérie…) y sévissent de façon permanente et endémique…
La majorité de la population est musulmane et anémiste mais toutes les religions, toutes les éthnies et toutes les cultures vivent dans un respect et un savoir vivre absoluement remarquable.
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Pourtant, c'est dans des conditions de vie difficiles, dans une grande précarité et une extrême pauvreté que la plupart des familles vivent.
Les structures sanitaires et sociales sont quasi inexistantes, le minimum vital n'est pas assuré.
L’accroissement de la population est spectaculaire avec un doublement tous les 25 ans.
Les jeunes représentent plus de 70% de la population et les 0-15 ans plus de 50 %.
La polygamie est pratiquée (chez les hommes à 18% et les femmes 31%) même si on la voit régresser au fil des années.
Le taux de fécondité est de 7,2, la mortalité infantile à 183‰ et la mortalité maternelle de 7‰.
Tous ces éléments font que le Niger est classé depuis quelques années, parmi les 5 pays les plus pauvres de la planète.
Les indices du Développement Humain des Nations Unies sont effectivement dramatiques : l’espérance de vie est de 48 ans, le taux d’analphabétisme est de 80%, l’accès à l’eau potable concerne moins de 50 % de la population.
Les maladies nutritionnelles y sont fréquentes et récurrentes, les infections (méningites, malaria ou paludisme, diphtérie…) y sévissent de façon permanente et endémique…
C’est donc dans ce contexte d’extrême pauvreté et d’urgence sociale que nous avons été amenés à nous positionner dès 2004.
La santé, l’éducation et l’aide au développement nous ont paru être des axes à prioriser car, tout en étant complémentaires, ils permettaient :
- l’apport de solutions concrètes pour améliorer les conditions de vie des populations les plus démunies notamment,
- la mise en oeuvre de projet de développement à plus long terme.
- l’apport de solutions concrètes pour améliorer les conditions de vie des populations les plus démunies notamment,
- la mise en oeuvre de projet de développement à plus long terme.
